BUJUMBURA, mai 2025 — Le Programme SYDONIA a participé récemment à un atelier tenu à Bujumbura, visant à évaluer la faisabilité de la numérisation de procédures clés liées à l’exportation au Burundi. L’événement a été organisé par TradeMark Africa (TMA) dans le cadre du projet UGUSHORA, financé par l’Ambassade du Royaume des Pays-Bas. L’atelier a réuni des parties prenantes des secteurs public et privé pour identifier les principales procédures à dématérialiser afin d’améliorer les échanges commerciaux du pays grâce à des outils numériques.
Le Programme SYDONIA était représenté par son Coordonnateur régional pour l’Afrique francophone ainsi qu’une experte en douane. Leur participation a renforcé l’engagement technique continu du programme en Afrique de l’Est, en appui aux pays partenaires dans l’exploration de solutions numériques destinées à simplifier le commerce international.
Le projet UGUSHORA vise à renforcer les chaînes de valeur agricoles orientées vers l’exportation du Burundi, notamment dans les secteurs de l’horticulture, de la pêche et des huiles essentielles. Il a pour objectifs d’attirer les investissements, d’améliorer le climat des affaires et de réduire les obstacles au commerce en favorisant le respect des normes internationales. Dans ce cadre, TMA et SYDONIA devraient collaborer étroitement avec l’administration nationale et les acteurs du secteur privé pour cartographier les procédures d’exportation pouvant être numérisées afin d’en accroître l’efficacité et la transparence.
Au cours de l’atelier, les participants ont discuté des divers défis auxquels font face les exportateurs, en particulier les petites et moyennes entreprises opérant dans les chaînes de valeur agricoles. L’événement a permis d’identifier deux domaines prioritaires susceptibles d’être numérisés : la délivrance des certificats sanitaires et phytosanitaires (SPS) par le ministère de l’Agriculture, et les certificats de conformité émis par le Bureau burundais de normalisation (BBN). Ces documents sont essentiels pour permettre aux exportateurs de prouver leur conformité aux exigences de sécurité et de qualité lors de l’accès aux marchés internationaux.
L’identification de ces domaines prioritaires constitue une étape importante vers une collaboration future. Des discussions techniques se poursuivront pour évaluer la faisabilité de l’intégration de ces processus dans les plateformes SYDONIA existantes du Burundi, telles que SYDONIAWorld et le Guichet Unique, via le développement de nouveaux modules ou l’amélioration des systèmes, sous réserve de l’approbation nationale, de la mobilisation de ressources et de la coordination entre les parties prenantes.
La participation du Programme SYDONIA à l’atelier a contribué à garantir que toute solution numérique future soit techniquement viable, conforme aux meilleures pratiques internationales et compatible avec le systèmes douanier en place. L’approche reste dirigée par le pays et inclusive, avec un accent mis sur la simplification des procédures commerciales sans compromettre les contrôles réglementaires.
Alors que le Burundi explore les prochaines étapes de sa transition vers la numérisation du commerce, cet atelier a offert une occasion opportune de mobiliser les partenaires, de recueillir des contributions, et de construire une vision commune pour des procédures d’exportation plus efficaces et équitables.
BUJUMBURA, mai 2025 — Le Programme SYDONIA a participé récemment à un atelier tenu à Bujumbura, visant à évaluer la faisabilité de la numérisation de procédures clés liées à l’exportation au Burundi. L’événement a été organisé par TradeMark Africa (TMA) dans le cadre du projet UGUSHORA, financé par l’Ambassade du Royaume des Pays-Bas. L’atelier a réuni des parties prenantes des secteurs public et privé pour identifier les principales procédures à dématérialiser afin d’améliorer les échanges commerciaux du pays grâce à des outils numériques.
Le Programme SYDONIA était représenté par son Coordonnateur régional pour l’Afrique francophone ainsi qu’une experte en douane. Leur participation a renforcé l’engagement technique continu du programme en Afrique de l’Est, en appui aux pays partenaires dans l’exploration de solutions numériques destinées à simplifier le commerce international.
Le projet UGUSHORA vise à renforcer les chaînes de valeur agricoles orientées vers l’exportation du Burundi, notamment dans les secteurs de l’horticulture, de la pêche et des huiles essentielles. Il a pour objectifs d’attirer les investissements, d’améliorer le climat des affaires et de réduire les obstacles au commerce en favorisant le respect des normes internationales. Dans ce cadre, TMA et SYDONIA devraient collaborer étroitement avec l’administration nationale et les acteurs du secteur privé pour cartographier les procédures d’exportation pouvant être numérisées afin d’en accroître l’efficacité et la transparence.
Au cours de l’atelier, les participants ont discuté des divers défis auxquels font face les exportateurs, en particulier les petites et moyennes entreprises opérant dans les chaînes de valeur agricoles. L’événement a permis d’identifier deux domaines prioritaires susceptibles d’être numérisés : la délivrance des certificats sanitaires et phytosanitaires (SPS) par le ministère de l’Agriculture, et les certificats de conformité émis par le Bureau burundais de normalisation (BBN). Ces documents sont essentiels pour permettre aux exportateurs de prouver leur conformité aux exigences de sécurité et de qualité lors de l’accès aux marchés internationaux.
L’identification de ces domaines prioritaires constitue une étape importante vers une collaboration future. Des discussions techniques se poursuivront pour évaluer la faisabilité de l’intégration de ces processus dans les plateformes SYDONIA existantes du Burundi, telles que SYDONIAWorld et le Guichet Unique, via le développement de nouveaux modules ou l’amélioration des systèmes, sous réserve de l’approbation nationale, de la mobilisation de ressources et de la coordination entre les parties prenantes.
La participation du Programme SYDONIA à l’atelier a contribué à garantir que toute solution numérique future soit techniquement viable, conforme aux meilleures pratiques internationales et compatible avec le systèmes douanier en place. L’approche reste dirigée par le pays et inclusive, avec un accent mis sur la simplification des procédures commerciales sans compromettre les contrôles réglementaires.
Alors que le Burundi explore les prochaines étapes de sa transition vers la numérisation du commerce, cet atelier a offert une occasion opportune de mobiliser les partenaires, de recueillir des contributions, et de construire une vision commune pour des procédures d’exportation plus efficaces et équitables.